Bienheureuse Maladie... !

Publié le par Martine VAN RENTERGHEM, Thérapeute Energéticienne

Bienheureuse Maladie... !

Proposition pour un autre regard....

 

Oh, je vois déjà les esprits chagrins, moqueurs, railleurs, dubitatifs, réprobateurs, interloqués, sceptiques etc.... s'exclamer en choeur : « mais comment peut-on dire que la maladie est un bienfait »  !

 

Oui, le titre est bousculant, étonnant, détonnant même, mais c'est qu'il en faut pour attirer votre attention ! 🙂

 

La maladie

 

Le mal a dit (en langage des oiseaux) c'est un appel au secours désespéré et ultime, une sonnette d'alarme... C'est la façon qu'a votre corps pour attirer votre attention sur ce qui ne vous convient pas (à tous les niveaux de votre vie), pour vous indiquer ce qu'il y a lieu de changer et qui vous malmène dans votre corps, dans vos émotions, dans votre coeur, dans votre mental...

 

En ce sens, il est possible de l'accepter comme un bienfait.. C'est une source précieuse de renseignements sur votre vécu actuel et passé.

 

Du simple rhume, aux addictions, aux problèmes de poids, de dents, d'articulations etc. jusqu'aux maladies les plus graves, votre corps essaie de vous parler...

 

La maladie n'arrive pas d'un coup, beaucoup de signaux avant-coureurs ont eu lieu et ont été négligés et vous avez persévéré dans la précipitation, le stress, les ruminations, dans le « faire à tout prix » et c'est ce qui vous rend malade aujourd'hui...

 

D'ailleurs, ne dit-on pas « tomber malade » ?

Intéressant cette formule n'est-ce- pas ?

 

Car si vous aviez été sur le bon chemin, sur ce qui est bon pour vous, auriez-vous eu besoin de tomber, chuter, d'être cloué-e au lit  ?

 

Sur le plan symbolique :

 

Tomber : évoque un trou, une dépression.

Chuter : Tomber sous l’action de son propre poids (Wiktionnaire), cela en dit long ! Evoque aussi ce qui évolue à bas bruit (on entend « chut » ) et qui ne se révéle pas (chuuut c'est un secret).

Cloué : évoque une stagnation, une impossibilité à reprendre les choses en mains, une sidération.

 

Rien de bien réjouissant...

Alors, en quoi, une maladie peut-elle être bienheureuse ou bienfaitrice ?

 

Par le repos à laquelle elle nous contraint (ou sous un autre angle : nous convie), la maladie nous oblige à nous arrêter enfin, à poser nos valises et à prendre du recul sur ce qui nous arrive, à nous poser les bonnes questions.

 

La maladie nous propose d'analyser les événements dans les jours (ou même mois...) précédents « l'arrêt-maladie » et de remarquer tous les signes avant-coureurs, qui nous disaient stop ! Fatigue, stress, douleurs (physiques, émotionnelles), situations répétitives dans tous les domaines de notre vie, tout est signe ...

 

La maladie nous invite à mettre de la conscience dans ce qui nous « peine »pour changer notre regard puis d'attitude sur notre façon de fonctionner et d'être dans la vie. C'est l'une de ses missions .

 

Seuls le repos et l'éloignement de la vie trépidante permettent cette modification car enfin nous prenons le temps nécessaire à la réflexion, à la méditation, à l'instrospection.

 

Souvent ce temps pour nous, permet de faire le bilan, le point sur une situation donnée.

 

 

 

Ainsi la maladie prend du sens pour nous faire évoluer positivement et ce changement de conscience permet le plus souvent de mettre en place le processus d'auto-guérison.

 

C'est en cela que la maladie est bienfaitrice... même si de prime abord cela ne va pas de soi.

 

Accompagnement ou pas ?

 

Trouver le sens des symptômes, leur symbolisme, retrouver l'histoire que veut vous raconter votre corps quand vous avez « oublié », peut se faire seul-e ou accompagné-e par un thérapeute, c'est un choix personnel.

 

Souvent une intervention extérieure, neutre, permet de poser des mots sur nos maux, une vision différente ou complémentaire....

 

Bien évidemment, rester en bonne forme, est beaucoup mieux que d'être malade et il est préférable et souhaitable de ne pas en arriver à la maladie pour s'interroger ...

 

De nombreux outils existent et chacun-e, pourra puiser dans ce qui lui convient le mieux, dans ce qui est le plus en adéquation avec ses envies et besoins profonds.

 

Un petit exercice ?

 

Enfin, une proposition …

 

Après chaque (ou presque) activité (travail, sport, ordinateur, jeux, télévision, courses, ménage, lectures etc.) faire une pause (mettre le cerveau en pause), en vidant l'esprit de toute idée, pensée – simplement, le vide …

 

Remarquez le rythme de votre respiration, si c'est doux, lent ou au contraire rapide, une partie du corps qui est peut-être endolorie... soyez attentif-ve, réceptif-ve, sans vous attarder, laissez passer ...

 

Au début, cela sera peut-être quelques secondes, puis plus longtemps...

 

Cet espace de vide ainsi créé permet à tous nos circuits électriques, hormonaux et énergétiques de se régénérer et facilite la santé.

 

Essayez ! Vous verrez que le bien-être est au rendez-vous, c'est un rafraîchissement général de l'organisme auquel vous êtes convié-e!

 

Nous voilà arrivés au terme de cet article pour l'instant et je vais profiter d'une petite pause !  😊

 

A bientôt pour de nouveaux articles, si vous le voulez bien ! (Abonnez-vous à la newsletter, une façon simple de recevoir chaque nouvelle parution mensuelle).

 

Chaleureusement,

 

PS : Le titre de cet article « bienheureuse maladie » est issu du livre éponyme de Bruno Repetto.

 

Mes Activités

Mes activités d’énergéticienne en 2021 se poursuivent sous la forme de soins énergétiques à distance (à recevoir tranquillement chez-vous, c’est simple et pratique !). C’est également valable pour nos amis  les Animaux  !

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